Dans mon court exposé je voudrais parler de la Maison Verte, comme de l’institution qui fonction dans le discours médical et socioculturel tout à fait spécifique. Je vais décrire l’extérieur de la maison verte, son entourage au sein duquel elle existe à partir 2006. La maison verte est le lieu d’accueille qui a la position assez différentes par rapport à la conception médicale de trouble psychique des enfants. Il faut dire qu’en Géorgie les enfants qui ont les pathologies psychiques sont plutôt les patients des neurologues que des psychiatres ou des psychothérapeutes. Tandis que les patients adultes s’adressent aux psychiatres ou aux psychothérapeutes. C'est-à-dire que l’enfant qui souffre psychiquement n’est pas encore sorti du monde medico-neurologique et cette situation provoque des problème qui se révèlent au niveau de la prise en charge d’enfant dans des milieu medical.
Les parents et leurs enfants n’apportent pas à la maison verte le symptôme qui peut être adressé a un sujet supposé savoir, qui doit être déchiffré par le travaille analytique à partir du parole des parents ou de ses enfants. Très souvent c’est pas le symptôme qui se présente au premier plan pendant la première rencontre, mais c’est le diagnostic médical qui était déjà formulé auprès des parents par un médecin qui représente un Autre tout poussant de notre société. Le diagnostic neurologique est première forme de la résistance avec laquelle nous avons affaire au début de notre travaille. Le diagnostic médical couvre la parole des enfants et des ses parents et il est lié à la Première angoisse du travaille analytique. Les parents avant de parler de son enfant essaient de vérifier la position de psychothérapeute par rapport à la position et diagnostic médical d’un neurologues. C’est pas le symptôme qu’on nous apporte en tant que la formation psychique qui appartient au sujet mais le diagnostic et le transfert sauvage sur le figure du médecin.
Le diagnostic d’un neurologue, formulé par les parents auprès d’un psychologue doit être affirmé par ce dernier (si le transfert sur le figure d’un médecin était positif), rejeté si cet diagnostic était traumatisant, ou les parents nous demandent de formuler un autre. Le diagnostic médical attaque la vie fantasmatique de la mère qui se structure sur les symptôme de l’enfant. Le diagnostic purement médical, exprimé sur le langage scientifique sévère change l’économie psychique de la mère par ce que le symptôme de l’enfant prend la signification médicale tout à fais nouvelle. notre rôle c’est de répérer la blesure narcissique infligée à la mère par un medecin qui réalise son sadisme par le réel traumatisant de l’annonce, par exemple : „Madame, Votre enfant est un autiste ».
dès que le diagnostic est établi par un neurologue, commence la deuxième étape de recherche afin de trouver l’étiologie organique da ce diagnostic. Pendant cet étape le corps et la vie psychique de l’enfant est complètement médicalisée. Une étape suivante est la thérapie comportementale ou plutôt médicamenteuse. La Maison verte est la dernière adresse pour les parents et leurs enfants, mais avant y venir ils passent le long chemin médical où le sens du symptôme ni la signification de la souffrance psychique ne sont pas prise en compte, mais ils sont complètement remplacés par les termes médicals c'est-à-dire par les diagnostics.
Quand l’enfant est déjà venu à la maison verte, il faut d’abord enlever le diagnostic pour entendre le sujet et sa propre parole. La Maison verte est prise dans ce discours médical, souvent soutenu et financé par le gouvernement. autour de la maison verte se forme la résistance très proche de celle de la résistance à la psychanalyse qu’existait au début de sa naissance.
La méthode de travaille da la maison verte est souvent appréciée comme non scientifique ou comme alternatif par rapport aux méthodes traditionnelles ou scientifiquement justifié. La mystification de la méthode psychanalytique fait de la Maison verte le lieu duquel les parents attendent le miracle. La maison verte est toujours obligée de définir sa place et sa fonction auprès d’un enfant et de sa famille et auprès des autres institution pour surmonter la résistance. Juste pour cette raison nous expliquons au manière très claire aux enfants et leurs parents la différence de la maison verte par rapport à l’école, aux établissements médicaux etc.
Le diagnostique médical-neurologique ou psychiatrique est très important parce que le nombre des enfants qui viennent à la maison verte avec le diagnostic de l’autisme est surprenant. Sauf le hyperactivité et des troubles de comportement le troisième diagnostique avec lequel lute la maison verte est l’autisme infantile. A peu près le 70% des enfants considéré par les neurologues comme les autistes souffrent da la psychose infantiles.
Le diagnostic de l’autisme est établi même aux enfants profondément déprimés ou aux enfants qui se trouvent dans le mutisme après le traumatisme psychique qui ne trouve aucune place dans le pensé médical en Géorgie. Dans le cas quand la souffrance psychique ne ressemble pas à l’autisme infantile l’enfant n’arrive pas quand même de s’échapper au diagnostic de « spectre d’autisme ». C'est-à-dire d’après le discours medico-neurologique développé pendant ce dernier temps en Géorgie, l’enfant est autiste ou son trouble appartient à la spectre d’autisme ou il est un enfant normale. Bien sûr cette classification est beaucoup plus grave que n’importe quel DSM IV du monde.
Il faut dire que le diagnostic « hyperactivité » profitait de la même tout puissance et de la même niveau de l’expansion avant de hégémonie ou de l’époque de l’autisme. L’image d’un enfant hyperactive est remplacé par l’image clinique de l’enfant autiste. On organise beaucoup de conférences et séminaires juste autour de l’autisme pour entrer dans les débats stériles et pseudo scientifique autour de l’étiologie de cette maladie. Est-ce qu’il est le trouble purement psychique ou neurologique ? etc. L’autisme en tant que le diagnostic clinique devient omniprésent qui n’épargne pas surtout la maison verte.
Il y a quelques raisons qui peuvent expliquer la diffusion de cette diagnostic l’hombre duquelle tombe sur la vie et la pathologie psychique des enfants.
Première raison c’est l’instrumentalisation des méthodes diagnostiques. Le diagnostique en tant que l’acte clinique est instrumentalisé par les testes de l’autisme. Ces testes qui sont utilisés très souvent par des neurologues transforment tous ce qui est psychique en quelque chose neurologique. Par exemple l’enfant qui est envoyé à la maison verte et qui a le diagnostic d’autisme représente très souvent le cas de la psychose infantile. Les neurologues fais de la psychose l’autisme pour avoir la raison médical de prescription de médicaments assez lourds pour les enfants. Pour le discours médical inséparable à l’industrie pharmacologique le mot autiste pose moins de problème que le mot psychotique. Dans ce cas là c’est l’enfant qui est au service de la méthode diagnostique mais pas au contraire. Le diagnose « votre enfant est autiste » sert de justification de l’existence de quelques programmes financés qui supposent l’alliance dangereuse entre ces méthode de diagnostique rapide par les testes et entre les comportementalisme. Apres le diagnose de l’autisme qui se passe au manier instrumental l’enfant est envoyé vers un autre machinerie, celle de ABA, ce qui est la forme le plus radicale et vulgaire de comportementalisme. Le diagnose de l’autisme est assez confortable pour les psychologue-comportementalistes, par ce qu’un enfant autiste ne parle pas et la parole est quelque chose embarrassante pour les gans qui pensent seulement à un comportement séparé du sujet. Quand l’enfant ou ses parents parlent les choses se compliquent. Dans les cas des psychose infantiles et même de l’autisme l’enfant est envoyé à la maison verte par ce que c’est sa mère qui se met à parler, à formuler son désire de savoir plus, à propos de son enfant et de sa maladie. C’est paradoxal quand les neurologues envoient les enfants considérés comme autiste à la maison verte qui et le lieu de parole et de compréhension profonde de la souffrance psychique des enfants. Je pense que la Maison verte représente un lieu miraculeux ou on adresse l’enfant gravement malade juste quand les autres méthodes dite scientifique, s’est montré inefficace. On peut dire que La position des professionnels par rapport à la maison verte est ambivalente. L’autre raison d’être obsédé par le diagnostic en générale et surtouts de l’autisme est ce que cet acte clinique qui se passe dans le milieu médical, répond à la demande des parents de savoir le nom de la maladie de leurs enfants. Ce désire de nomination du problème psychique de l’enfant est commin pour les médecins et pour les parents, par ce qu’il les épargne de l’angoisse de quelque chose qui est suspendu, encore non symbolisé et opaque. Le diagnostic (très souvent faux) est traumatisant pour les parents, mais en même temps il soulage leur angoisse parce qu’après cet acte de diagnostic le médecin se permet de prescrire le traitement médicamenteux. Le diagnostic est formulé et après il est attaqué par les médicament. Après une échec de cette opération médicale la mère ouvre la porte de la maison verte avec son enfant pour recevoir quelque chose différente. Par exemple un autre diagnostic. Les parents profondément frustrés après tous ces opérations médicales trouvent au sein de la maison verte une seul endroit à Tbilissi où ils peuvent parler et d’être écoutés par les autres.
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